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The corporate media machine is actively encouraging the medical community to abandon all established medical ethics and literally force potentially life-threatening medical treatments on people without their informed consent.

The American Medical Association (AMA) in its Code of Medical Ethics clearly outlines how physicians and caretakers are to treat their patients, and it looks nothing like the rancorous abuse by doctors that's taking place in the U.S. and Europe today. Patients are to make their own decisions about medical treatments, according to the AMA, with doctors merely providing unbiased information as appropriate.

The "Informed Consent" section of the AMA's Code of Ethics about how medical treatments are to be administered is:

The patient should make his or her own determination about treatment. ... Informed consent is a basic policy in both ethics and law that physicians must honor, unless the patient is unconscious or otherwise incapable of consenting and harm from failure to treat is imminent.

One major thing worth noting here is that informed consent is a basic policy in both ethics and law that physicians must honor, meaning it's not optional. An honorable physician abiding by this standard ethics code will not badger or berate a mother who has questions about vaccine safety, for instance. His responsibility is to help patients make the best medical choice possible from all available options, or as the AMA puts it:

The physician has an ethical obligation to help the patient make choices from among the therapeutic alternatives consistent with good medical practice.

For sarter, there have been ZERO measles deaths reported in the U.S. since 2003
, but more than HUNDRED deaths from the vaccine in the same period.
The American Medical Association’s Code of Ethics directly states that "informed consent" is a fundamental "patient right" that "must be honored by physicians."
All doctors who attempt to coerce patients into unwanted medical interventions are operating in violation of the AMA's own stated medical ethics code. Read the AMA's full statement:
  http://www.ama-assn.org/ama/pub/physician-resources/medical-ethics/code-medical-ethics/opinion808.page

The AMA's Code of Ethics statement furthermore says that patients possess a "right of self-decision" and that this right can only be effectively exercised "if the patient possesses enough information to enable an informed choice."

Any "doctor" who tries to force vaccines on you is amoral and violating basic ethical standards.



les cellules cancéreuses se nourrissent de sucre

http://www.inexplique-endebat.com/2015/01/morts-sur-ordonnance.html

Morts sur ordonnance, est un documentaire (0h53) consternant sur la consommation de médicaments psychotropes aux effets secondaires redoutables, voire mortels, qui analyse comment l'industrie pharmaceutique a verrouillé le marché pour vendre toujours plus, en toute connaissance de cause. Ce documentaire est proposé par Marina Carrère d’Encausse, de l'émission Le Monde en face.         Patientez ou cliquez sur "start vidéo".

A travers le monde, la consommation de psychotropes ne cesse d’augmenter. Anxiolytiques, antidépresseurs, somnifères et autres tranquillisants sauvent des vies, mais de nombreux experts parlent aussi de bombes à retardement, qui seraient à l'origine de vagues de suicides, de troubles de comportement graves, de violence, de délires, d'homicides, et certains seraient plus addictifs que les drogues dures.
Aux Etats-Unis, les procès intentés par les victimes ont coûté des milliards de dollars aux industries pharmaceutiques. Pourtant, ces médicaments restent un best-seller planétaire et, en tant que premier consommateur mondial, la France représente un véritable tiroir-caisse. Ce film montre la dangerosité potentielle de ces molécules et analyse comment l'industrie pharmaceutique a verrouillé le marché, avec un cynisme effrayant.

"Mon frère a pris cinq jours de traitement et il s’est pendu. Je reste persuadée aujourd’hui que, s’il n’y avait pas eu cette molécule chimique, il serait toujours parmi nous." Marc avait 48 ans et était papa de deux enfants lorsqu’il a mis fin à ses jours en octobre 2013. Sa sœur, Florence, est formelle à son sujet : "Il n’avait jamais manifesté la moindre idée suicidaire, mais en moins d’une semaine, le médicament l’a rendu fou. Il ne faut pas qu’il soit mort pour rien."
Des témoignages comme celui de Florence sont légion. Aurélie, jeune étudiante brillante, a, elle, attenté à sa vie et s’est retrouvée en hôpital psychiatrique après qu’un médecin lui a prescrit un cocktail de trois médicaments à la suite d’un surmenage. Elle se souvient de l’effet foudroyant dès la première prise, et d’avoir ressenti l’envie de se tuer, de prendre une mitraillette et de tirer sur tout le monde. C’était effrayant de se voir penser tout ça". Corinne, à son tour, raconte comment Jean, son mari, avant de finir par s’immoler dans sa voiture, avait les yeux exorbités, injectés de sang, oubliait ce qu’on lui disait, et n’était plus le même homme.
En France ou ailleurs, les exemples se succèdent et se ressemblent. Pour leur famille, Marc, Aurélie, Jean et les autres sont les victimes d’un traitement censé leur permettre de mieux vivre. Tous étaient sous psychotropes au moment du passage à l’acte. 
Des substances aux effets secondaires sévères. Regroupés en différentes familles, antidépresseurs, anxiolytiques, neuroleptiques, somnifères ou tranquillisants, s’avèreraient indispensables pour soigner les dépressions graves ou modérées. Seulement, dans 50 % des cas, les prescriptions ne seraient pas justifiées. Les médecins en donneraient donc trop facilement à des patients qui souffrent d’un mal-être, ou d'insomnie, tristesse…. Le problème est que s’ils sauvent incontestablement des vies, les psychotropes ont, chez certains, des effets secondaires sévères.
En France, le Pr Philippe Even est l’un des rares spécialistes à tirer la sonnette d’alarme. Il a compulsé des dizaines de documents mettant en garde contre ces substances et explique notamment que chez un grand nombre de personnes, anxiolytiques et somnifères sont plus addictifs que l’héroïne ; c’est pourquoi le traitement ne devrait jamais dépasser quelques semaines. Pour les antidépresseurs qui n’agissent qu’au bout de deux ou trois semaines, meurtre ou suicide peuvent avoir lieu lors des premiers jours de la prise, à l’augmentation des doses ou à l’arrêt du médicament. Des propos corroborés par le Dr David Healy, un psychiatre britannique réputé qui estime qu’au moins une personne sur vingt a ce type de réaction extrême.
De quoi faire froid dans le dos ! Surtout quand on sait que le marché mondial des psychotropes pèse des dizaines de milliards de dollars. Avec des bénéfices qui dépassent ceux de l’industrie pétrolière, les laboratoires pharmaceutiques ne sont pas prêts de faire l’impasse sur les pilules du bonheur.
(Beatriz Loiseau)
Bienvenue dans le monde merveilleux des psychotropes. Pourtant, en France, pays où il s'en consomme le plus, les médecins continuent de prescrire à tour de bras les pilules miracles. Une glaçante séquence tournée en caméra cachée dans le cabinet de six généralistes montre que cinq d'entre-eux les recommandent sans hésiter.
Sans répondre à toutes les interrogations soulevées, l'enquête montre que, face aux accusations, les médecins ont bien du mal à remettre en question leurs pratiques. Elle souligne également les nombreux conflits d'intérêt que nourrit la société américaine de psychiatrie avec les laboratoires pharmaceutiques...

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